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Actualités

La ripisylve

09/06/2017

Les berges des fleuves et des rivières sont naturellement colonisées par une forêt appelée « ripisylve ». Composée d’essences de bois tendres (peupliers, aulnes, saules…), cette ripisylve se développe de manière linéaire le long des cours d’eau, formant ainsi un corridor très utile aux déplacements d’un grand nombre d’espèces.

Les chauves souris

22/05/2017

Ce week-end, c’était la fête de la nature au Pont du Diable ! De nombreux visiteurs sont venus en apprendre davantage sur les supers pouvoirs des plantes, des animaux, de l’eau …

Au programme de l’atelier animé par Natura 2000, ce sont les supers-pouvoirs des chauves-souris qui ont passionné petits et grands !

Le chabot de l'Hérault, qu'es aquo ?

12/05/2017

Parmi les espèces rares recensées par Natura 2000, le Chabot de l’Hérault figure en tête de liste, avec un enjeu de conservation qualifié d’exceptionnel ! En effet, à ce jour, ce petit poisson très discret n’est connu que sur 3 affluents de l’Hérault : la Vis (hors site Natura 2000), la Buèges et l’Avèze.

Renouée du Japon

28/04/2017

Originaire d’Asie, cette plante herbacée vivace a d’abord été utilisée dans l’horticulture, avant de s’échapper des jardins pour coloniser les milieux naturels, et notamment les cours d’eau. Pouvant atteindre 3 mètres en quelques mois, cette plante dispose d’un feuillage très dense et émet des substances toxiques dans le sol pour éliminer toute concurrence végétale.

La CESML s'engage pour la préservation de l'avifaune

06/04/2017

Le territoire de la Communauté de communes Vallée de l’Hérault accueille une biodiversité exceptionnelle, notamment de grands rapaces parmi lesquels l’Aigle de Bonelli ou encore l’Aigle royal. Parmi les causes de mortalités, le risque d’électrocution et de percutions avec les lignes électriques arrive en bonne place.

Des panneaux pour sensibiliser les spéléos

15/03/2017

Les chauves-souris sont susceptibles d’utiliser les grottes à différentes périodes de l’année : en hiver pour l’hibernation ou encore en été pour la mise-bas et l’élevage des jeunes. Ces deux périodes sont particulièrement sensibles et le dérangement humain représente une cause importante du déclin des populations de chiroptères.